Je considèrerai donc à l’avenir toute personne qui ne porterait pas de masque dans un lieu public où je serai, comme une personne désireuse, consciemment ou pas, de porter atteinte à ma vie.
Je considèrerai donc à l’avenir toute personne qui ne porterait pas de masque dans un lieu public où je serai, comme une personne désireuse, consciemment ou pas, de porter atteinte à ma vie.
Il pense à cette superbe sculpture de l’Italien Le Bernin qui, à l’âge de vingt-trois ans, avait terminé l’enlèvement de Proserpine. Sur cette sculpture, la main de Pluton s’enfonce avec une telle vérité dans la cuisse de Proserpine, que le marbre devient chair.
Parfois, il amène une bouteille de blanc, qu’il laisse fraîchir dans l’eau. Avec une bonne tranche de pain, un pot de rillettes ou un bout de fromage et un Opinel, ça fait bien l’histoire. Là, il n’a rien amené. Pas besoin. Il est fasciné par cette salamandre qu’il compte observer et photographier pour compléter sa galerie.
C’est lui le premier qui voit la lumière du soleil. Il le crie haut et fort. Certains sont déréglés, trop pressés, des coqueriquateurs précoces dirait-on, vous réveillent en pleine nuit. D’autres coquelinent en journée. Toujours le bel emplumé se dandine autour de ses poules. Malheur à celui qui voudrait corrompre l’équilibre de sa basse-cour.
Nombre d’amis musiciens ne rêvent que d’une chose, c’est de pouvoir jouer ensemble et vivre ces moments privilégiés où les connexions se font entre humains sans qu’il soit besoin de parler. Une forme d’harmonie, non seulement musicale et composée des accords à jouer, mais surtout humaine. Ils rêvent aussi de pouvoir jouer sur scène. Notons l’abus de langage, car si nous disons jouer de la musique, il s’agit bien de travailler. Le terme jouer est trompeur. Alors que quelqu’un qui a le nez en trompette n’en jouera pas forcément.
le blog du doigt dans l'oeil - magazine culturel
......quand je suis sur la touche...je pianote en rond......
Zouz' forever
Detroit Richards
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