(Texte de novembre 2021) Tu as vu le titre de cette nouvelle ? Et tu te dis, ça y est, l’emplumé pète un câble. C’est ça les gens qui picolent. L’alcool lui embrouille l’esprit, et il perd son orthographe. Quel naufrage ! …
(Texte de novembre 2021) Tu as vu le titre de cette nouvelle ? Et tu te dis, ça y est, l’emplumé pète un câble. C’est ça les gens qui picolent. L’alcool lui embrouille l’esprit, et il perd son orthographe. Quel naufrage ! …
Je considèrerai donc à l’avenir toute personne qui ne porterait pas de masque dans un lieu public où je serai, comme une personne désireuse, consciemment ou pas, de porter atteinte à ma vie.
Il pense à cette superbe sculpture de l’Italien Le Bernin qui, à l’âge de vingt-trois ans, avait terminé l’enlèvement de Proserpine. Sur cette sculpture, la main de Pluton s’enfonce avec une telle vérité dans la cuisse de Proserpine, que le marbre devient chair.
Parfois, il amène une bouteille de blanc, qu’il laisse fraîchir dans l’eau. Avec une bonne tranche de pain, un pot de rillettes ou un bout de fromage et un Opinel, ça fait bien l’histoire. Là, il n’a rien amené. Pas besoin. Il est fasciné par cette salamandre qu’il compte observer et photographier pour compléter sa galerie.
C’est lui le premier qui voit la lumière du soleil. Il le crie haut et fort. Certains sont déréglés, trop pressés, des coqueriquateurs précoces dirait-on, vous réveillent en pleine nuit. D’autres coquelinent en journée. Toujours le bel emplumé se dandine autour de ses poules. Malheur à celui qui voudrait corrompre l’équilibre de sa basse-cour.
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