Hé ! Oui toi, là. Quoi ? Toi là, t’es sentiel toi ? Ch’sais pas moi. K’sa peut t’fout d’abord ? Si t’es sentiel t’ouvre, si non, t’ouvre pas ! Lâche-ouam, ou j’t’éclate les dents !!!
Hé ! Oui toi, là. Quoi ? Toi là, t’es sentiel toi ? Ch’sais pas moi. K’sa peut t’fout d’abord ? Si t’es sentiel t’ouvre, si non, t’ouvre pas ! Lâche-ouam, ou j’t’éclate les dents !!!
Bien m’en a pris. Je suis tombé dedans avec facilité. C’est un livre qui vous attrape avec douceur. La langue y est fluide, sans accroc, ce qui facilite la progression et fait la place belle à l’histoire et aux personnages. La demoiselle vous attrape avec douceur et ne vous lâche pas si aisément.
Je ne veux pas dresser un tableau uniquement à charge. J’aime beaucoup de choses des États-Unis. Évidemment, l’art. Une bonne partie de ce que j’écoute, lit ou admire vient de là-bas.
Léo aime bien écrire des petits poèmes de trois vers, un peu comme des haïkus qui auraient perdu leur implacable métrique. Il se prend à écrire ses souhaits, et se surprend à constater que ça marche. Il peut influer sur son destin en écrivant trois vers.
Hier, je commence la lecture de « La nuit noire a volé les étoiles » de Pauline Henri. Sachez que je me suis relevé cette nuit pour le finir. C’est une phrase que l’on retrouve souvent sur les avis des lecteurs.