Nos ancêtres sont morts. Englués dans notre confort nous avons perdu la mémoire des guerres et sommes captivés par notre nombril plus que par des valeurs qui nous réuniraient et nous feraient nous transcender. En lisant Emile Zola (ci-dessous) on ne peut qu’admettre que l’histoire bégaye, et que nous ne cessons de placer nos pas dans les traces de nos anciens.