
Lyons-la-Forêt 
Lyons-la-Forêt 
Liberté en sous-bois 
Sous-bois 
Liberté fait du tourisme 
Les environs de Notre-Dame de la Mer 
Les environs de Notre-Dame de la Mer 2 
Les environs de Notre-Dame de la Mer 3 
Les environs de Notre-Dame de la Mer 4 
Les environs de Notre-Dame de la Mer 5 
Les environs de Notre-Dame de la Mer 6 
Les environs de Notre-Dame de la Mer 7 
Les environs de Notre-Dame de la Mer 8 
Les environs de Notre-Dame de la Mer 9 
Les environs de Notre-Dame de la Mer 10 
Les environs de Notre-Dame de la Mer 11 
Rapprochement Ecosse et Cognac – Vive l’Europe 
Plumette cherchant un encrier… / Feather looking for an inkwell … 
Plume / Feather 
Différents stades de mûrissement des mûres / Different stages of ripening of blackberries 
Autre plumette ! / Another feather ! 
Tiens, des noix ! Here, nuts! 
Chemin qui sent la mûre et les noix / Path that smells of blackberries and nuts 
Différents stades de mûrissement des mûres 2 / Different stages of ripening of blackberries 2 

Une plumette ! A feather ! 
Fleur de Hoya 
Hoya 
Têtes d’Hortensia 
Têtes d’Hortensia 2 
Liberté 
Tomates cerises 
Tomates cerises 2 
Rose et sa feuille 
Hortensia dans le passage
Il s’agit de photos dont toutes ou une partie ont illustré les publication de Maux et cris du mois de septembre 2020. Toutes sont de l’Emplumé, y compris les moches, celles dont la mise au point est approximative, ainsi que celles où j’ai forcé sur les filtres. D’ailleurs, je n’utilise que très rarement des filtres que l’on trouve sur internet. Je fais ma propre soupe, avec les avantages (c’est de moi) et les inconvénients (je n’utilise qu’une petite partie des réglages proposés par Lightroom).
Mon appareil est un Pentax k-r. C’est un boitier plutôt d’entrée de gamme, loin du full frame que j’aurais un jour si je gagne au loto. A chaque fois, j’oublie bêtement que je ne joue pas… J’ai un objectif Pentax 18-270 toujours monté. C’est pas du matériel de folie, mais c’est le mien. Pour le développement, si l’on peut utiliser le terme pour de la photo numérique, j’utilise Lightroom. Il contient largement plus de réglages que ce qu’il me faut, mais reste assez simple à utiliser. Les réglages, comme les épices en cuisine, doivent être utilisés avec parcimonie. En deux coups de cuillère à pot, on peut rendre jolie une photo fade. Une cuillère de plus et on est dans l’outrancier, l’artificiel.
Avant j’utilisai les photos sans aucun réglage. Il m’arrivait de produire de jolies photos mais la prise de vue devait être impeccable. Et je n’ai pas les connaissances suffisantes, ni l’expérience pour réussir à coup sûr. Même si je fais des efforts en restant tout le temps en mode Manuel et en m’obligeant à travailler le cadrage et de jouer avec les trois bases de la photo : l’ouverture, la vitesse et les ISO, lors de la prise de photo. Au développement, il est possible de recadrer, et je ne m’en prive pas. Il y a souvent un détail en premier plan qui n’a rien à faire sur la photo et que je ne vois pas à la prise de vue. Je modifie les ISO et dans 80% des cas, je pose le bon, celui qui permet d’avoir la meilleure ouverture en fonction de la lumière.
J’ai pris des cours dans une association avec Lola il y a quelques années. C’était autant pour passer du temps avec ma fille que pour me remettre en selle sur le plan photo. Les deux objectifs ont été atteints.
Désolé d’avoir été si prolixe. A bientôt.
