Il est des matins où le paysage alentour est mangé par l’épaisse brume des fleuves, renforçant le sentiment de solitude.
Il est des matins où le paysage alentour est mangé par l’épaisse brume des fleuves, renforçant le sentiment de solitude.
Après avoir lu mon billet « Je suis un fou, moi… », Ernest m’a adressé le poème ci-après. Un poème qui illustre parfaitement, idéalement ce que fut ma première journée d’immunothérapie. Je suis très touché et le remercie énormément. Allez voir son blog. Ses écrits sont brillants, débridés, truculents, drôles, ses personnages sont haut en …
« Les temps grognons du Corona trop con percent mon cœur d’une lenteur monotone. Tout embué et masqué, sans bonheur, je me souviens des jours anciens et je pleure.«
Trois promenades, une photo, quatre lignes