« Les temps grognons du Corona trop con percent mon cœur d’une lenteur monotone. Tout embué et masqué, sans bonheur, je me souviens des jours anciens et je pleure.«
« Les temps grognons du Corona trop con percent mon cœur d’une lenteur monotone. Tout embué et masqué, sans bonheur, je me souviens des jours anciens et je pleure.«
le blog du doigt dans l'oeil - magazine culturel
......quand je suis sur la touche...je pianote en rond......
Zouz' forever
Detroit Richards