Tu reconnaîtras tout de même qu’il n’est pas très glorieux d’avoir gardé cette volaille comme emblème. Je sais bien que d’autres ont un poireau ou une feuille d’érable, mais notre coq est tout de même assez misérable.
Tu reconnaîtras tout de même qu’il n’est pas très glorieux d’avoir gardé cette volaille comme emblème. Je sais bien que d’autres ont un poireau ou une feuille d’érable, mais notre coq est tout de même assez misérable.
Ce serait un immense vide, une zone où personne jamais ne passerait, ni personne ni son ombre. Comme une île où la main de l’homme n’aurait jamais mis le pied. Le genre d’endroit où ton hurlement n’est jamais retourné et s’enfuit toujours loin de tes oreilles, un vide infini, sans bordure.
le blog du doigt dans l'oeil - magazine culturel
......quand je suis sur la touche...je pianote en rond......
Zouz' forever
Detroit Richards