Ce matin je vous propose une relecture de ce poème de 2017, issu d’un rêve cinéma trop graphique en noir et blanc, enfin surtout en noir. Merci à mes capricieuses nuits…
Je l’aime, il est fondateur pour moi !
Certain(e)s d’entre vous l’ont déjà lu. Je sollicite leur indulgence!